1 - Jouez le jeu ! Merci de respecter les termes du contrat, du projet PEAJ pour l'évolution des personnes et l’esprit des contrats aidés… 

2 - Les formations, c'est sacré ! Merci de respecter les temps de formation qui permettent à votre jeune salarié de se perfectionner, de prendre confiance en lui et de revenir plus motivé que jamais ! Et surtout lorsque vous avez choisi d’être accompagné gratuitement dans votre recrutement par notre équipe, sous réserve d’un nombre minimal de journées de formation (car c'est justement ce qui nous permet d'être au service de votre recrutement sans coût pour votre structure). 

3 - Cela se passe mal ? Pas de panique, et appelez nous en tant que médiateur (mais avant que la crise ne s’installe, nous ne sommes pas pompiers pour calmer des personnes tout feux, tout flamme).

4 - Cela se passe très mal ? Pas de panique non plus, et il y a des solutions pour casser le contrat (en CDI plus facilement qu’en CDD, mais même ainsi, il y a quelques astuces intelligentes pour le jeune concerné et vous-même).

5 - The show must go on ... Pas d’amalgame ! Vous avez stoppé votre collaboration avec un jeune de chez nous mais ne stoppez pas votre collaboration avec nous ! Nous ne sommes pas responsable du comportement de chacun, et pour un jeune pas top, nous en avons 5 au top… Donc prenez de la hauteur… Et “the show must go on”…

6 - Pensez tutorat ! Vous avez recruté un jeune en contrat aidé. Nous pouvons vous proposer des formations de tuteurs "topissimes" pour vous aider dans votre mission, mais avant tout, faîtes des points régulièrement avec votre salarié.

7 - Un premier jour décisif. Ne ratez pas votre accueil : prenez le temps d'accueillir votre salarié comme il se doit (même si c’est le nouveau petit jeune du service), de lui faire rencontrer les équipes, visiter les lieux, et de faire un pot de bienvenue (soyez ‘in’, oui, ça se fait !) et de lui rappeler le contenu de sa fiche de poste pour lui donner de bons réflexes. 

8 - Soyez à l'écoute et votre salarié vous le rendra... Parce qu'au final, n’oubliez pas qu’un salarié heureux au travail est plus productif qu’un salarié malheureux !